Mes modestes pensées auto-destructrices :

* Pensée auto-destructrice numéro : 1 Le réchauffement…et alors? L’heure est grave nous dises certain. En effet elle est très gave cette heure. C’est l’heure pour notre espèce de disparaître, nous avons terminé de sucer le sang bleu de ce monde. Nous pouvons nous retirer, nous maladie, nous avons infecté mortellement cette terre si belle et si plaisante.Nous sommes arrivés a notre apogée: destination finale de notre mission. Mais non! nous sortes certaine défaillance! Sans raisons ils nous invente un nouveau devoir. Préservons celle que nous sommes venu anéantir. Telle est notre nouvelle mission. * Pensées auto-destructrice numéro: 2 Le chemin de la connaissance… Curieux? Oui nous le sommes par essence. Quel future? Quelle mort? Quelle fin? Connaissance destructrice qui nous saisie de l’intérieur nous tord les vicaire et nous brûle la cervelle. Notre soif incontrôlable du sang de notre plus grand ennemi secret voilé, est la porte ouverte à l’aveuglant jardin noir. * Pensées auto-destructrice numéro : 3 La grande trahison Nous nous sommes trahis. Toutes autres fins que celle que la Terre nous propose serait torture. L’humain apprend sur lui pour mieux s’exterminer. L’immense souffrance que nous procure la connaissance et insoutenable, Et nous poussera après une grande brûlure perverse et sadique à l’ultime choix. L’homme ne sera alors plus homme, il ne sera plus que machine de guerre, puis de science, puis sans fond, lumière de la mort.Il sera spectateur de son propre suicide. Alors pourquoi ne pas mourir à tant? Pendant que la Terre nous le propose Encore, pendant que nous ne sommes pas totalement conscient de notre fin. * Pensées auto-destructrice numéro : 4 Où est l’humanisme? Considérer le règne de l’homme comme une vie, et non comme une accumulation de micro existences. Là est l’humanisme, caché dans le temps. Que chaque être ne considère pas sa disparition propre, mais la fin de la race dont il est l’acteur principal. Vouloir défier le théâtre de la vie est la plus ignoble preuve d’inhumanité. Réfléchissons dés aujourd’hui à notre fin, et trouvons celle qui nous fera le moins souffrir, là est la plus belle preuve d’humanité. Jetons nous sur la clef noire que nous propose la Terre, maintenant et arrêtons nous ici pendant que l’homme n’a pas encore trop eu mal. Là est enfoui l’humanisme. * Pensées auto-destructrice numéro : 5 Une existence. L’homme doit survivre. Pour cela il doit accomplir trois grandes étapes dans son existence: - Apprendre l’homme pour accéder au second palier - Comprendre se qu’il est réellement, de manière à lui donner une vision qui le mènera là où il sera en droit de mépriser et de critiquer. - Oublier se qu’il a compris, oublier pour avoir le sentiment d’être heureux, oublier pour vivre, oublier pour ne pas mourir d’incompréhension. * Pensées auto-destructrice numéro : 6 Tentation assassine. Ne pas se contenter de procréer…occupons nous à sur-créer. Et pourquoi? Pour mieux détruire, pour mieux se détruire. Nous avons soif du sang pure du savoir, comblons continuellement le vide, Évoluons, aveugles inconscients que nous sommes, la torture sera au rendez-vous qu’elle nous aura imposé de toutes ses forces. Le monde que nous façonnons et de plus en plus beau à nos pauvres yeux, et de plus en plus joueur cruel avec nos esprits. Notre mission est loin de nous rassasier, n’en tenons compte, oublions et pensons évolution. * Pensées auto-destructrice numéro : 7 La balance… Elle est si discrète et si déterminante. Tous est basé sur le plus et sur le moins. Satisfaction, regret, insatisfaction, Est-ce le sentiment heureux qui m’envahi le plus souvent? Où sont opposé malheureux? Quel poids, et de quel côté…je constate, je vis, ou je meurt si je suis valeureux. * Pensées auto-destructrice numéro : 8 Dernier recours, Le rire, la moquerie, l’autodérision, et surtout un grand recule. Ainsi vous vous agripperez au commencement de la fin des jours obscures. Et les jour enthousiastes et lumineux vous retrouverez. Oublier votre fierté, utile qu’aux gens que vous méprisez. Et riez, riez sur vous et les autres. Cela aide. * Pensées auto-destructrices numéro : 9 La où l’homme est inutile, c’est là où il ne fait ni le bien, ni le mal. Mais inutile pourquoi, pour qui? Inutile à la survie de l’espèce…tout converge vers la survie. L’homme de mal, aucun n’est plus précieux que lui. Il est à la base de l’évolution de l’espèce, Il permet de pointer du doigt ce qu’il faut améliorer, pour sans cesse évoluer. Si il n’avait pas existé l’homme se serait éteint depuis fort longtemps. L’homme de mal n’est pas une défaillance, il est la clé qui ouvre la porte du bonheur …et le bonheur, croyez moi, c’est l’évolution. *Pensées auto-destructrice numéro : 10 Aujourd’hui j’aillais correctement. Et pourquoi? Je me suis vu…j’étais dans le ciel, et je me suis vu. J’étais un pion de jeu. Je ne m’imaginais certainement pas ainsi! Donc j’ai souri, puis ri, j’ai commencé à me moquer de moi-même. Tout allait pour le mieux , jusqu’à que je revienne sur terre…conscient, Et là, il me semble que j’ai péri.